Sondage : clichés et mauvaises habitudes sur les routes européennes
Les Suédois conduisent bien, les Italiens sont des fous du volant, les Espagnols abusent du klaxon… Ce sondage s’attarde sur les clichés !
Pour la Fondation Vinci Autoroutes, Ipsos a fait paraitre dernièrement une amusante étude sur les clichés des conducteurs européens. Les Espagnols klaxonnant à tout va, les Suédois téléphonant au volant ou les Italiens passant souvent sous silence le port de la ceinture de sécurité : les mauvaises habitudes de nos voisins du Vieux Continent y sont disséquées… mais aussi les nôtres ! Décryptage de votre portail d’information SauverMonPermis.
Sept pays ont vu leurs conducteurs passés au peigne fin pour l’étude :
- Allemagne
- Belgique
- Espagne
- Grande-Bretagne
- Italie
- Suède
- France
Alcool au volant, stupéfiants et inattention
Interrogés sur leurs habitudes au volant pour ce « baromètre européen de la conduite responsable », leurs réponses valent le détour, ne serait-ce que pour relever les différences entre les nations. Par exemple, questionnés sur la cause principale des accidents mortels sur les routes, tous blâment la conduite sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiants… sauf les Britanniques qui, eux, accusent l’inattention.
La Suède et l’Italie : major de promo et bonnet d’âne
47 % des sondés estiment que la Suède est le pays où les conducteurs se montrent les plus responsables, devant l’Allemagne. A contrario, les Italiens font office de mauvais élèves, devant l’Espagne. Et ça, de l’aveu même… des Italiens ! Ils confessent volontiers que le port de la ceinture de sécurité ne fait pas partie de leur priorités ; nos amis espagnols, eux, admettent klaxonner « de façon intempestive les conducteurs qui les énervent ».
De l’usage du téléphone sans kit mains libres au volant
Si nos camarades scandinaves et germaniques font figure de premiers de la classe, ils n’en avouent pas moins ne pas toujours respecter les distances de sécurité. Quant à l’usage du téléphone sans kit mains libres au volant, les Suédois disent s’en rendre régulièrement coupables, alors qu'ils ne sont que 24 % à le faire en France.
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